John Marc Spoilt

Carte d'Identité

Feat KEANU REEVES

« En me choisissant, je choisis l'homme. » NOM - Spoilt PRÉNOM(S) - John Marc ÂGE - 37 ans MAISON - Gryffondor ANIMAL DE COMPAGNIE - Chat, Hamlet METIER - Professeur de Divination AVATAR - Keanu Reeves « De mémoire de rose, on n'a jamais vu un jardinier mourir. »

Description physique

Vous n'êtes pas un célèbre sorcier, on ne vous connaît pas. Montrez-vous !
(pas de voir avatar.)

John est trèèès beau. Et son esprit, sa façon de parler, sa passion pour ce qu'il dit lui donne beaucoup de charme également. Il ne fait malheureusement pas tomber par terre TOUTES ses élèves (mais une bonne partie quand même), parce que son sale caractère le rend peu apprécié pendant ses cours. Il a les cheveux brun foncé très rarement coiffés (si bien qu'on pourrait croire qu'il ne se coiffe que le lundi, à en juger par l'énorme épi du vendredi matin...), des yeux de même couleur, un teint terne de fumeur, rasé quand il y pense. Il n'est pas spécialement grand, un peu plus d'1m70. C'est tout de même un personnage assez particulier dans sa façon d'être. Il marche un peu bizarrement, à la Michael Jackson, comme s'il glissait mais en avant, en allant assez vite (évidemment, quand il est possible de glisser, dans le couloir du lycée par exemple), souvent avec un café à la main. Dehors et sans café, il est très décontract', regarde autour de lui et dit bonjour à tous ceux qu'il connaît, de façon parfois un peu automatique. Et, étrangement, avec un sac sur le dos, il oublie tout le reste, la démarche change complètement: à fond dansle couloir, tête baissée, parfois en parlant tout seul. En cours, c'est très différent. Il a toujours son café à la main, et il prend la tasse, fait des petits ronds avec, la poste à la bouche, puis la repose sans avoir bu. De temps en temps quand même, il boit avec un gros "ssssllllllllppppp". S'il n'y a pas de café dans la tasse, il fait quand même mine de le boire: blague destinée au élèves ou idiotie ? Lui-même n'a même pas remarqué tous ses tiques, et vu sa mémoire, il ne saurait le dire. Il se fiche de toute la panoplie du sorcier, il mets des T-shirt en été, et passe son temps à remonter ses manches en hiver. Il a trop de tics de langage pour perdre du temps à les citer: un seul semble capital: dans le cas où il aurait dit quelque chose qui ne fait pas rire l'auditoire ou qui visait implicitement quelqu'un (présent dans la salle ou pas): "Ouais... Bref."

Caractère

Aucun livre ne parle de vous, construisez le vôtre !

J'aime- John aime le café. Dès qu'il se lève, c'est la première chose qu'il fait. Puis avant d'aller faire cours, puis à chaque pause, puis le midi, puis entre les cours de l'après-midi, même le soir... Que personne ne s'étonne qu'il fasse des insomnies ensuite ! Mais sinon, c'est un passionné. Il aime tout lire et la bibliothèque manque de nouveautés à son goût, il fume et il parle sans gêne avec ses élèves.

Je n'aime pas — Si John n'a pas peur de grand-chose, il déteste à un point phénoménal les tatouages et les percing. A-t-il entendu que son beau-fils s'en était fait un ? Que sa belle-fille réclamait sans cesse un percing à sa mère ? Il ne vaut mieux pas pour eux deux... D'autre part, s'il se fiche considérablement de l'image qu'on ses élèves de lui, pas question qu'ils le fassent voir dans leur copies, ce n'est pas fait pour ça. Ils peuvent, par contre, se venger sur le terrain de Quidditch, aux occasions des matchs prof/élèves...

Histoire - Rédaction

Vous pouvez choisir l'un des deux sujet au choix, puis supprimez l'autre. Pour les deux sujets, on demande un minimum de 20 lignes.

2) Non, ce n'est pas un cauchemar, vous venez de vous faire enfermer ici par un sorcier encagoulé. Il pose des questions sur vous, votre passé, puis vous laisse seul. A vous de vous échapper !

Un coup... Une douleur aiguë... Le noir...
Il lui semblait que c'était la fin de la journée, que le soleil se couchait, au moment ou il s'était tenu sur ses pieds la dernière fois. A présent, il devait avoir une sacrée bosse. Et où était-il, et quelle heure était-il, et qu'avait-il fait aujourd'hui ? Il n'en savait plus rien. Quelque chose le dérangeait, il se sentait enfermé, prisonnier. Un moment fut nécessaire avant qu'il puisse ouvrir les yeux et reprendre une pensée claire. Pensée claire, c'est-à-dire qu'il ne pensait pas: comme il le répétait si souvent à sa belle-fille, quand il ne disait rien, il avait du vent dans la tête, inutile de lui demander à quoi il pensait... comme justement on le fit à ce moment-là.

- A quoi pensez-vous, professeur Spoilt ?

Déjà, il ne voulait pas s'entendre appeler professeur Spoilt. C'est MONSIEUR Spoilt. Ou John, pour les intimes. Mais cette personne-là, dont il ne parvenait de toute façon pas à voir le visage, n'était pas un intime. Ou alors les intimes étaient devenus drôlement étranges. Pourquoi était-il ici ? Ah, mais c'était la question qu'il s'était posée il y a deux minutes déjà. Et il n'avait pas trouvé de réponse. A en juger par son mal de tête, cela ressemblait à un enlèvement. Mais enfin ! Un enlèvement dans le collège ? C'était épouvantable. Il avait bien vu dans sa boule de cristal qu'il se passait quelque chose, mais il n'avait prévenu personne. Il pensait que c'était simplement une erreur... une erreur...

- Je ne pense à rien du tout, madame. Sachez que quand un homme ne bouge plus, il a du vent dans la tête. Mais les filles sont incapables de comprendre ça, elles sont toujours en train de penser.

Demander "qui êtes vous ?" Foutaise, inutilité la plus totale. Si cette voix féminine avait pris la peine de se cagouler, ce n'était pas pour lui dire son nom. Mais où allait le monde... On ne leur avait jamais rien appris, à ces gens. Et la morale ? Où était-elle ? Au moins, lui, quand il était petit et qu'il faisait une bêtise, sa mère feignait les larmes en prétendant: "quand tu fais ça, maman elle t'aime plus". Et cela marchait très bien, puisqu'il avait arrêté par la suite de piquer des bonbons chez la boulangère. C'était dommage, d'ailleurs, car il avait manifesté des dons magiques très tôt, des dons de Divination, et il savait tout à fait quand la boulangère était ailleurs ou avait le dos tourné.

- Vous avez de l'humour. Dites-moi tout sur votre famille.
- Pardon ? Mais vous ne pensez pas que je vais vous raconter ma vie non !

Chose à ne pas dire. L'inconnue prit sa baguette et, en remuant à peine les lèvres, lui fit subir sous le choc de la surprise le sortilège d'endoloris. Un sortilège interdit... Mais qui...? Comment...? Dans l'école, dans Poudlard ! Où était le Directeur ? Pourquoi n'était-il pas au courant ? Et pourquoi lui, John Marc Spoilt, n'avait-il rien vu venir ? Sa ravisseuse rompit le charme. Il ressentait encore sur lui la douleur affreuse de ce sort terrible, tout son corps transir et brûler, partir en cendres à la suite de ce feu insupportable. Il n'avait encore jamais eu à subir de sortilège impardonnable, et ce n'était pas agréable du tout. Finalement, il allait répondre à ses questions.

- Changé d'avis, professeur ?
- Mes parents étaient bouchers.
- Des moldus ?
- Non.
- Alors expliquez-moi pourquoi ils avaient besoin de faire un métier aussi ridicule ?
- Parce qu'ils le voulaient. Nous n'étions même pas au courant de l'existence des sorciers. J'avais des dons de Divinations, mais j'étais petit. Mon petit frère est Cracmol.

Il avait un peu retrouvé ses esprits, et il arrivait à voir clairement ce que son adversaire désirait entendre. Il se contenta du minimum. Il comprit aussi que la demoiselle ne tarderait pas à partir et à le laisser là. Il lui fallait encore un peu de temps pour voir plus loin dans l'avenir, mais cela ne tarderait pas. En attendant, il attendait la question suivante, et avait soigneusement préparé sa réponse avant qu'elle ne soit posée: et ses enfants ?

- Vous croyez que je n'ai que ça à faire ?

Il était sur le point d'être apte à découvrir qui elle était. Mais aussi, il savait qu'elle s'apprêtait à partir. Justement, quelqu'un d'autre entra. Elle partit sur son ordre, et tous deux laissèrent John seul, assis sur sa chaise. Et dire que le matin encore il se plaignait de ces maudits contrôles de connaissance à corriger ! Même si ses Poufsouffle de cinquième année l'épuisaient à ne jamais apprendre leurs cours, c'était plus agréable de les avoir en classe que d'être ligoté sur cette chaise. D'ailleurs, il n'en pouvait déjà plus. Il avait besoin d'un café. Et d'une clope. Et vite. Dehors, il pleuvait... Pff, il allait être trempé, et encore entendre des élèves le regarder avec des yeux de merlan frit en lui demandant s'il était allé dehors. Mais que croiyaient-ils tous ? Qu'il s'était pissé dessus ? Deux heures plus tard, il était encore là, ne sachant l'heure que grâce à ses pouvoirs. Et les deux gus de tout à l'heure n'étaient pas revenus. S'ils avaient aussi bonne mémoire que lui, il n'était pas près de pouvoir partir. Alors, il eut soudain une vision: l'une de ses collègue le cherchait. Dans quelques minutes à peine, elle passerait par là. Il était assez éveillé et éclairci pour savoir exactement à quel moment crier. Elle l'entendrait.

- Nadia !

Comme il l'avait prévu, elle répondit à son appel. D'un sortilège élémentaire, elle ouvrit la porte et se trouva face à John, qui avait un air complètement ammolli. Enfin, il allait sortir de là !

- John ? Mais qu'est-ce que tu fais là ?
- Il faut aller voir le Directeur, vite, il se trame quelque chose... Mais avant, très important: j'ai besoin de prendre un café.

Retour dans le monde des moldus

PSEUDO - Tara
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